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La version initiale disait : « Il a autant de chance que celui qui s'est noyé samedi – pas besoin d’aller au bania (sauna russe, ndlr) ». En effet, le sixième jour de la semaine, l’on chauffait le bania. D’abord se lavaient les hôtes, puis ils conviaient ceux qui n’en avaient pas chez eux. La journée était donc bien chargée et les généreux hôtes pouvaient laisser entendre la blague que seuls ceux qui avaient péri noyés un samedi étaient libres de tout ce tracas.
La phrase s’est propagée et a traversé des générations, mais sa fin a plongé dans l’oubli et de nos jours l’on qualifie donc de « noyé malchanceux » celui qui connaît constamment un fiasco.
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